Passer au bio, ça ne se fait pas du jour au lendemain ! La conversion d’une exploitation agricole prend 2 à 3 ans, le temps nécessaire à l’obtention du label. Durant cette période, l’exploitant cultive déjà selon un cahier des charges strict : il voit ses rendements baisser et ses coûts de production augmenter. N’étant pas encore certifié, il ne peut répercuter cette pression financière sur ses prix de vente.
Il faut être un super-héros pour passer au bio !
Passer au bio, ça ne se fait pas du jour au lendemain ! La conversion d’une exploitation agricole prend 2 à 3 ans, le temps nécessaire à l’obtention du label. Durant cette période, l’exploitant cultive déjà selon le cahier des charges du bio : il voit ses rendements baisser et ses coûts de production augmenter. N’étant pas encore certifié, il ne peut répercuter cette pression financière sur ses prix de vente.
Il faut être un super-héros pour passer au bio !
Passer au bio, ça ne se fait pas du jour au lendemain ! La conversion d’une exploitation agricole prend 2 à 3 ans, le temps nécessaire à l’obtention du label. Durant cette période, l’exploitant cultive déjà selon le cahier des charges du bio : il voit ses rendements baisser et ses coûts de production augmenter. N’étant pas encore certifié, il ne peut répercuter cette pression financière sur ses prix de vente.
Ils ne sont pas bio nos partenaires ?
Soucieux d’une agriculture plus durable, ils se sont lancés dans l’aventure de la conversion biologique :
Mathilde
Productrice de blé Châtaincourt (28)
Mathilde a rejoint son père sur l’exploitation familiale en 2009. Soucieuse de préserver sa santé, elle décide de convertir ses 135 hectares, un vrai challenge ! Malgré les nombreuses difficultés, Mathilde a trouvé dans la conversion bio ce qu’elle recherchait : un bel équilibre.
Pascal et Stéphanie
Producteurs de poires Saint-Pierre Montlimart (49)
Pascal a repris l’exploitation de son
père et de son grand-père dans le Val-de-Loire où il travaille avec Stéphanie. Le couple convertit peu à peu leurs vergers en bio depuis 2008. Précurseurs au sein de leur coopérative, ils ont inspiré tous les autres arboriculteurs.
David
Producteur de pommes Chenu (72)
Cet ancien pompier volontaire a le goût du challenge ! David a repris l’exploitation familiale dans la Sarthe où il travaille avec sa femme et son frère. Notre super-agriculteur convertit peu à peu ses vergers depuis 2015, avec le souci de préserver l’environnement.
Mathilde
Productrice de blé Châtaincourt (28)
Mathilde a rejoint son père sur l’exploitation familiale en 2009. Soucieuse de préserver sa santé, elle décide de convertir ses 135 hectares, un vrai challenge ! Malgré les nombreuses difficultés, Mathilde a trouvé dans le bio ce qu’elle recherchait : un bel équilibre.
Pascal et Stéphanie
Producteurs de poire Saint-Pierre Montlimart (49)
Pascal a repris l’exploitation de son
père et de son grand-père dans le Val-de-Loire où il travaille avec Stéphanie. Le couple convertit peu à peu leurs vergers en bio depuis 2008. Précurseurs au sein de leur coopérative, ils ont inspiré tous les autres arboriculteurs.
David
Producteur de pommes Chenu (72)
Cet ancien pompier volontaire a le goût du challenge ! David a repris l’exploitation familiale dans la Sarthe où il travaille avec sa femme et son frère. Notre super-agriculteur convertit peu à peu ses vergers depuis 2015, avec le souci de préserver l’environnement.
Thomas
Producteur de lentilles Saint-Laurent-des-Bois (27)
Dès son arrivée sur l’exploitation familiale, le jeune homme se lance dans la conversion biologique. Aidé de son père, il repense l’ensemble de l’activité : des semis à la commercialisation. L’aventure est loin d’être terminée mais le binôme est heureux du chemin parcouru.
Aidé de son père, il repense l’ensemble de l’activité : des semis à la commercialisation. L’aventure est loin d’être terminée mais le binôme est heureux du chemin parcouru.
Gilles
Producteur de miel Rurey (25)
Fier du patrimoine naturel de sa région, il a décidé de changer ses méthodes de production pour conserver cet environnement exceptionnel.
Edouard
Producteur de potimarrons Annoeulin (59)
Souhaitant arrêter l’utilisation de produits phytosanitaires de synthèse, Edouard change ses méthodes agricoles. Les principales difficultés selon lui ? Trouver des solutions durables pour le désherbage et le traitement des maladies.
Thomas
Producteur de lentilles Saint-Laurent-des-Bois (27)
Dès son arrivée sur l’exploitation familiale, le jeune homme se lance dans la conversion biologique. Aidé de son père, il repense l’ensemble de l’activité : des semis à la commercialisation. L’aventure est loin d’être terminée mais le binôme est heureux du chemin parcouru.
Gilles
Producteur de miel Rurey (25)
Fier du patrimoine naturel de sa région, il a décidé de changer ses méthodes de production pour conserver cet environnement exceptionnel.
Edouard
Producteur de potimarron Annoeulin (59)
Souhaitant arrêter l’utilisation de produits phytosanitaires de synthèse, Edouard change ses méthodes agricoles. Les principales difficultés selon lui ? Trouver des solutions durables pour le désherbage et le traitement des maladies.
Votre super-pouvoir : aider nos agriculteurs à passer au bio
Pour soutenir David, Stéphanie, Gilles, Thomas et tous les autres dans leur conversion biologique, nous avons créé une gamme de produits d'épicerie qui les rétribue justement durant cette période difficile.